Rupture après la fin d’expatriation

C’est souvent lorsqu’ils apprennent que l’employeur d’origine cherche à mettre fin à leur contrat de travail de droit français que les expatriés s’intéressent plus précisément à leurs droits et aux conditions financières de leur départ.
C’est le moment où il est le plus important de recourir aux services d’avocats spécialistes de l’expatriation. En effet, il arrive assez fréquemment que l’employeur tente de minimiser le coût de la rupture du contrat de travail que ce soit dans le pays d’expatriation ou en France.

Ainsi, en cas d’expatriation, n’est-il pas rare de voir la société d’origine procéder au licenciement de son salarié alors même que le contrat de travail local avec la société d’accueil n’a pas même été rompu.

De la même façon, il est fréquent que les propositions de réintégration soient utilisées par l’employeur pour faire diminuer la rémunération mensuelle moyenne de l’expatrié avant de le licencier en payant des indemnités calculées sur ces bases minorées. Dans ce genre de situation, il est nécessaire de s’adresser à des avocats au fait des décisions de jurisprudence qui précisent quels sont les éléments de rémunération qui doivent être pris en compte pour le calcul de leurs indemnités.

Seuls des avocats spécialistes de l’expatriation comme le sont les avocats d’Astaé sont à même de permettre aux expatriés de comprendre les enjeux et les conséquences pécuniaires des décisions de l’employeur. En cas de contentieux dans le pays d’accueil, Astaé dispose d’un réseau de correspondant dans la plupart des zones géographiques d’expatriation.